taboule au chou-fleur
• Ingrédients pour 2 personnes :
1 petit chou-fleur (370 g environ)
200g environ de tomates
20g environ de persil frisé
1 poivron rouge
1/2 oignon rouge
8 feuilles de menthe fraîche hachées finement
2 c. à s. d’eau de Quinton hypertonique (eau de mer)*
1 c. à c. de tomates concentrées
15 cl d’eau Jus de 2 citrons ou 1 gros
1 c. à s. d’huile d’olive
1 petite gousse d’ail hachée
Poivre
*Disponible ici.
ETAPES
Réduisez en petits morceaux le chou-fleur avec votre mixeur ou à l’aide d’une mandoline.
Coupez les tomates en petits cubes et ciselez finement l’oignon rouge. Mixez brièvement le poivron rouge.
Au couteau, hachez finement le persil, l’ail et les feuilles de menthe. Mélangez tous les légumes ensemble.
Dans un petit bol, mettre le concentré de tomates avec l’eau, ajouter au reste de la préparation.
C’est le moment de préparer l’assaisonnement. Dans un bol, fouettez le jus de citron, l’huile d’olive, l’eau de quinton (eau de mer) et le poivre noir moulu. Versez dans le saladier contenant les légumes et mélangez pour bien imprégner le chou-fleur.
Vous pouvez servir ce taboulé immédiatement ou le conserver 5 jours au réfrigérateur (vous pouvez également ajouter du sel selon votre préférence).
EN SAVOIR PLUS
Le chou-fleur, est un légume de haute valeur nutritive. Il contient de la vitamine B1, B2, B3, B5, B6 et B9, des acides gras oméga-3 et la vitamine K. Il est également une source importante de protéines, de phosphore et de potassium.
Le chou-fleur est aussi riche en antioxydants (manganèse, caroténoïdes, phytonutriments), qui réduisent le stress oxydatif et les maladies qui y sont associées.
Le chou-fleur agit aussi sur la désintoxication de l’organisme en contenant des gluscosinates, des thiocyanates et des enzymes du foie qui aident à neutraliser les substances potentiellement toxiques.
Le chou-fleur participe au bon fonctionnement du tube digestif, en contenant des fibres essentielles à notre système digestif. La présence de glucoraphanin protège également l'estomac contre certaines bactéries pathogènes.